Chapitre 20 : La gourmandise

Bonjour chers lecteurs,

Voici donc ce nouveau chapitre, cetes court mais que je trouve original. j'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture à tous et à dans deux semaines.

La gourmandise est un désir d'aliments jugés particulièrement agréables, que certains moralistes et certaines doctrines religieuses peuvent considérer comme un défaut ou une faute. [Wikipedia]

Comme il est fort bien noté sur wikipedia. La gourmandise est un péché pour certaines religions mais on doit surtout la distinguer de la goinfrerie. En effet, la gourmandise n’est pas un réel défaut si c’est un besoin de se faire plaisir à un moment où on a une baisse de moral. Il est important de comprendre et de contrôler ses envies pour que cette gourmandise ne devienne pas une goinfrerie. Par le passé, seule la nourriture pouvait attiser notre convoitise. C’était l’un des seuls éléments de plaisir mais aujourd’hui la gourmandise peut prendre différentes formes.

Toutes activités donnant un certain plaisir de vivre qui touchent à l’un de nos sens est affecté par la gourmandise. Finalement, on peut associer la gourmandise à la passion de nos loisirs.  Être passionné d’un quelconque sujet est important pour notre bien-être mais sa fanatisation provoque (comme la gloutonnerie) des dérives de la personnalité et du physique. Pour la nourriture nous la connaissons bien. C’est une dépendance qui s’accroit au fil des temps et provoque des dépressions lorsque l’on est en manque. Pour les autres activités comme la passion d’un sport ou d’un loisir, isolent les passionnées et les rend dépendants mentalement.

Toutes personnes atteintes par cette gloutonnerie deviennent violant lorsqu’on tente de les priver de la source de l’objet de plaisir. Mais pas seulement, dévorés par leurs besoins toujours plus grands d’obtenir ce plaisir, leurs pensées deviennent totalement obsessionnelles.

Finalement chaque chose qui peut nous faire du bien peut nous détruire et si on ne comprend pas que le plaisir donné par une activité doit rester seulement un plaisir et non une nécessité pour continuer à vivre.